Un de ces hasards a été la découverte, durant mon travail, de lois concernant les relations entre les frères et sœurs.
Quand les mères décrivaient leur enfant, j’étais étonné qu’elles décrivent les mêmes comportements pour les premiers, les deuxièmes ou les troisièmes enfants. Mon étonnement était encore plus profond lorsque les mêmes mots apparaissaient : «observateur», «réservé», «sensible», «obéissant», «appliqué» pour les premiers enfants ; «franc», «créatif», «émotif», «têtu», «câlin» pour les deuxièmes enfants.
La description de soi-même ou de l'enfant par les mères étant un des piliers du choix du remède, j'ai pu identifier des groupes de remèdes qui agissent de manière spécifique pour le premier, le deuxième ou le troisième enfant de la fratrie.
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